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Suivez mes conseils pour votre matériel de voyage à vélo

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Mis à jour le 9 juillet 2025

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Temps de lecture estimé : 18 minutes

Vous vous lancez dans la randonnée à vélo ou bikepacking et vous naviguez de site en site pour acheter votre équipement ? Avec cette profusion d’offres (matériel vélo, habillement du cycliste, matériel de bivouac à vélo), constituer son équipement pour le cyclotourisme peut s’avérer délicat. Je vous livre mon expérience, mes conseils et ma liste de matériel de rando vélo dans cet article pour pédaler l’esprit serein.


Je vous dis tout sur les éléments indispensables pour votre voyage à vélo. Dans un premier temps, je me consacre au vélo et à ces accessoires (outils, GPS, kit, sacoches à vélo, électronique, etc.). Ensuite, j’aborde la partie de l’habillement pour le cyclotourisme qui, de mon côté, utilise beaucoup les vêtements techniques de randonnée. Enfin, j’expose le sujet du bivouac en vélo-camping. Cette liste m’appartient et chacun peut puiser des inspirations pour son propre équipement. Vous trouverez également de nombreux conseils suite à mes expériences !

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Les incontournables pour votre liste de matériel de cyclotourisme

Pour les plus pressés, je résume tout dans un tableau.

TypeRéférence
VéloLe grand classique VSF Fahrradmanufaktur T-500
Sacoches de véloArrière : Vaude Aqua de 24 litres.
Guidon : Vaude Aqua de 6 litres.
Insubmersibles !
SelleLa SMP TRK Medium pour faire disparaître vos douleurs !
PneusLes Marathon Plus Tour poyvalents sur routes dégradées et chemins.
BéquilleLa référence incontournable Pletscher
Porte bagagesLe Tubus Cargo une référence éternelle
RétroviseurSur ma liste de courses à venir : rétroviseur Busch & Muller.
PoignéesLes Bars ends Ergon qui prolongent le cintre en hauteur.
Antivol de véloUn antivol Abus en U, les plus solides.
Outils de réparationUn kit multi-outils indispensable en cas de galère comme j’ai vécu en Suisse.
Tenue de pluie à véloLa veste imperméable et pantalon imperméable polyvalent Patagonia Torrentshell
Vêtements de cyclisteCuissard court Vaude
Maillot pour cycliste Van Rysel
Casque Abus
BivouacTente Exped Lyra II solide et confortable
Matelas gonflable Thermarest NeoAir XLite
Sac de couchage en plume Valandré Swing 450
Popote Forclaz pour cuisiner à deux.

Quel équipement de base pour le cyclotourisme ?

Vélo de randonnée ou bikepacking, un allié précieux pour vos voyages

Je possède depuis plusieurs années le vélo VSF-T500 de fabrication allemande. Il constitue le vélo incontournable des cyclotouristes. En résumé, ce vélo supporte très bien les petites routes et les chemins de terre. Son cadre absorbe mieux les vibrations lorsqu’il est chargé qu’à vide. La transmission légèrement modifiée (petit plateau de 24 dents) et de bonne qualité me convient très bien. Je peux adopter plusieurs positions, y compris une plus sportive grâce à mes poignées ergonomiques.

vsf t500 voyage velo

Si je devais choisir un nouveau vélo, voici les critères que je retiendrais : 

Son utilisation

Bikepacking, gravel, vélo de randonnée ? Cela influe sur la géométrie du cadre, la potence, le type de cintre et votre position sur le vélo.

Le groupe de transmission

On oublie les modèles d’entrée de gamme de chez Shimano. Privilégiez du Deore au minimum.

Le type de freinage

À disque (efficace, mais entretien régulier à réaliser) ou V-brake (rusticité et entretien facile) ?

La qualité du cadre

Acier, aluminium, carbone. Regardez les soudures et les œillets disponibles pour ajouter des équipements (béquilles, freins à disque, sacoches).  

Le ressenti

Une fois que vous testez le vélo. Je ne conseille pas l’achat d’un vélo en e-commerce

Les autres critères restent, pour moi, secondaires : 

Le diamètre des roues constitue un faux problème. On trouve maintenant souvent des roues en double paroi beaucoup plus solides.
Le poids du vélo : anecdotique quand on est chargé. Attention à adopter une transmission adéquate.
Selle, poignées, pneus, porte-bagages et mêmes roues s’usent au cours de la vie du vélo et restent interchangeables.
Le moyeu dynamo reste pratique si vous roulez en vélotaf de nuit, mais pas indispensable de jour, sauf à signaler sa présence sur la route.

La transmission : l’élément incontournable du vélo

Déjà, lisez cette ressource pour mieux connaître la gamme des groupes de transmission Shimano. Le fabricant a sorti un groupe de transmission Cues qui permet de plus grandes compatibilités entre dérailleurs, pignons et plateaux. Changer tout un groupe revient à plusieurs centaines d’euros, alors autant bien le choisir. Margaux avait auparavant un groupe Shimano Tourney peu fiable. Nous avons tout changé pour du Deore contre 350 € de travaux pièces comprises. Vérifiez bien que le plus grand pignon soit au minimum de 34 dents et le petit plateau de 24 ou 26 dents. Vous serez plus à l’aise pour gravir de longues montées parfois raides. Certains vélos sont équipés d’un seul plateau et de 1 à 13 pignons. L’inconvénient réside dans le manque de souplesse pour avoir du braquet ou affronter les montées.

derailleur arriere deore t500

Sacoches de vélo, un équipement de vélo-camping vital

Des bonnes sacoches pour un bon voyage

Accordez un très bon budget sur votre paire de sacoches de cyclotourisme pour conserver vos affaires au sec. Prenez de la marque : Vaude, Ortlieb les plus populaires ou des artisans comme Restrap.

Après le vélo, les sacoches représentent un équipement primordial à choisir avec grand soin. Je dispose depuis mes débuts en cyclotourisme de la même paire de sacoches arrière : les Vaude Aqua de 24 litres.

Bilan : leur résistance à l’eau est remarquable, mes affaires restent toujours au sec, même après une journée complète de pluie. J’ai confiance au système d’accroche QMR 2.0 pour les maintenir sur le porte-bagages, même sur mauvaise route ou piste forestière. Les éventuels accrocs ou coutures défaites se réparent par de la glue épaisse. Veillez à ce que le poids total reste en dessous du maximum autorisé par votre porte-bagages et qu’il soit bien réparti. 

J’utilise des sacs de rangement étanches pour ranger mes affaires dans les sacoches. 

Pour un bon maintien des sacoches sur le porte bagages

Écartez au maximum les crochets de fixation et mettez le crochet inférieur le plus bas possible sur le porte-bagage pour un meilleur maintien. Vérifiez leur état de temps en temps, car une grosse secousse peut déverrouiller un crochet inférieur. 

Pour alléger la charge à l’arrière, je place la tente de randonnée dans un sac étanche de 20 litres devant le cintre avec deux sangles. Ce sont deux kilos de moins que supportera le porte-bagages et une meilleure conduite en descente. 

J’utilise également une sacoche de guidon Vaude Aqua de 6 litres. Elle peut contenir un grand nombre d’affaires, comme mon appareil photo hybride, des papiers, des lunettes, de la nourriture. Autre exemple : ma veste imperméable rentre intégralement dedans. 

Mon conseil : prenez un système de fixation Klickfix avec une serrure pour la verrouiller. Ainsi, la sacoche restera toujours fixée. Je parle en connaissance de cause, j’ai perdu 1000 euros de matériel photo avec mon ancienne sacoche qui s’est décrochée sur un caillou.

Accessoires de cyclotourisme pour personnaliser votre vélo

J’ai utilisé pendant plusieurs années la selle d’origine en gardant régulièrement un inconfort au fessier. J’ai choisi en remplacement la SMP TRK Medium avec un bon rembourrage et qui soulage le périnée.

Si vous avez mal aux fesses avec une nouvelle selle, revendez-là et achetez une autre.

Je conseille d’opter pour des pneus polyvalents (route et gravier) comme les Marathon Plus Tour de section minimum 37-622. Les pneus de sections 42-622 et 47-622 apportent encore plus de polyvalence sur pistes cabossées et sableuses.

Ils durent plusieurs milliers de kilomètres et procurent une vraie assurance sur les pistes forestières voir des singles en bon état. Vous pouvez également placer des garde-boues SKS, essentiels pour vous protéger des saletés de la route et des éclaboussures en cas de pluie. Vérifiez qu’ils correspondent à la section des pneus choisis.

Très pratique malgré son poids. Je déconseille les béquilles qui se placent près du boîtier de pédalier qui assure une moins bonne stabilité du vélo à l’arrêt. Si vous disposez de deux trous au niveau des bases du cadre, prenez une béquille de marque comme Pletscher

Investissez également dans des porte-bagages solides, comme Racktime ou Tubus. Par exemple, le grand classique Tubus Cargo dispose d’un matériau de base en acier, ce qui lui confère une très grande solidité au détriment du poids. L’aluminium se veut plus léger, mais moins durable, comme pour le Racktime Light-it que j’utilise. Je constate régulièrement l’aluminium limé par les chocs : je devrai le changer un jour.

On me recommande depuis plusieurs années d’utiliser un rétroviseur à l’extrémité du cintre. J’envisage de franchir le cap bientôt pour les placer sur les bars ends Ergon. Ces derniers m’apportent un vrai confort pour varier les positions des mains sur le cintre.

Disposer d’un antivol à vélo apporte un gage de sécurité, notamment lors de visites en ville ou au camping. Surtout si vous attachez deux vélos ensemble mais cela signifie du poids supplémentaire. Je commence à infléchir ma position à ce sujet : je n’en ai pas eu besoin pendant mon dernier voyage solo. Qui veut de mon vélo impersonnel ? Personne. Pour le moment, je me sers encore de cet antivol Abus.

Kit de cyclotourisme : entretien et outils de vélo

Je rencontre souvent des réparateurs vélo ou des cyclistes prêts à rendre service en cas de panne. J’embarque un minimum d’outils pour entretenir et réparer le vélo. 

Une anecdote : sur la route du Jura suisse, j’ai subi une crevaison de ma roue arrière. Je ne pouvais pas réparer la chambre à air trop poreuse et comble du malheur, celle de secours n’était pas la bonne. Un cycliste suisse, près de ses sous, m’a vendu sa chambre à air 7 francs après négociation.

Voici mon kit de réparation vélo : 

1 chambre à air de secours par personne. Si vous crevez, changez là et vous la réparerez plus tard. Faites attention à prendre la bonne référence.
Des rustines de rechange et de la colle.
1 kit multi-outils indispensable et de leviers à pneus.
Des attaches rapides pour votre chaîne.
Une pompe compatible valves Schrader et Presta. Avec manomètre si possible.
Une petite serviette pour essuyer.
De l’huile pour la chaîne. Vérifiez-la régulièrement, surtout après la pluie et des projections de poussières.
Un chiffon pour se nettoyer les mains.
De la petite visserie : vis, boulons, écrous.
À la rigueur : un câble de frein et un câble de vitesse.
vélo camargue cycliste-sable-camargue
Le sable : le pire ennemi du vélo. Nettoyage indispensable au retour de la Camargue.

Électronique : batterie externe et GPS de vélo

Le matériel électronique constitue un élément clé d’un équipement de voyage à vélo. J’emporte une batterie externe Anker d’ancienne génération de 20 000 mAh de moins en moins performante. Je compte la changer prochainement. Cette solution me semble préférable à celle des panneaux solaires encombrants et d’une batterie à peine moins légers.

Je charge mon appareil photo dessus (1860 mAh), mon smartphone (6000 mAh), mais également le matériel de Margaux (smartphone 2815 mAh et chargeur d’appareil auditif). On pourrait se contenter de moins, mais lorsque nous campons en bivouac plusieurs jours, elle s’avère pratique. Nous chargeons notre matériel dessus même en camping. Bien souvent, les prises électriques sont situées dans les sanitaires et à la portée de tout le monde.

Le support smartphone à vis représente pour moi le meilleur compromis pour la navigation GPS. Je n’ai pas une grande confiance sur les supports magnétiques et la sacoche de cadre Zefal renvoie trop de reflets pour naviguer sereinement. Mon smartphone dispose d’une très bonne batterie qui me permet de naviguer une à deux journées, si je n’utilise pas la fonction guidage.

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Mon application GPS sur smartphone favorite

Pour tout voyage à vélo, je planifie mes traces avec brouter pour les charger sur OSMand. Cette application ne nécessite pas de connexion réseau pour fonctionner et économise donc de la batterie. Elle fournit un nombre de renseignements ultra précieux, comme les boulangeries, les supérettes et supermarchés, les magasins de vélo, les campings et également les accès à l’eau. En revanche, l’application convient mieux aux smartphones performants.

Vêtements pour cyclistes : maillot, cuissard, casque, gants

J’utilise au maximum les mêmes vêtements techniques pour toutes mes activités outdoor.

J’inclus dedans le pantalon de randonnée, les chaussures imperméables et tous les vêtements de rechange. L’ensemble coupe-vent et imperméable Patagonia Torrentshell n’échappe pas également à cette sélection. Ma compagne utilise toujours le même modèle depuis plusieurs années pour ses trajets vélotaf. Notez les limitations de ces protections imperméables : elles peuvent être utilisées par temps frais sur un terrain plat, mais ne sont pas adaptées aux conditions chaudes ou avec des pentes. Enfiler des surchaussures peut s’avérer utile pour réduire le ruissellement de l’eau.

J’ai d’ailleurs écris un article pour donner mon avis sur le modèle Torrentshell.

En revanche, j’utilise bien un maillot pour cycliste Van Rysel qui épouse mon buste et évite les prises au vent qui ralentissent considérablement. Je dispose également de manchettes qui complètent le maillot par temps frais. En dessous d’une certaine température, disons 10°C, un tee-shirt manches longues en mérinos devient impératif.

J’utilise également une paire de gants de vélo pour protéger mes mains en cas de chute et limiter les désagréables sensations au contact des poignées de vélo. 

Pour protéger mes fesses, j’utilise un cuissard court Vaude enfilé sous un short. Je dispose bien d’un cuissard normal vraiment pratique pour rouler avec fluidité, mais pas du tout ergonomique pour visiter un village ou une ville. Les qualités d’un cuissard perdurent jusqu’à 3 ans, considérez-le comme un consommable.

Le choix d’un casque reste primordial pour votre sécurité. Sa durée de vie varie de 3 à 5 ans selon la qualité des matériaux de base. Je porte un casque fonctionnel qui dure moins longtemps au prix plus doux plutôt qu’un casque haut de gamme au tarif haut de gamme. Un casque Abus avec des aérations fait largement l’affaire. Veillez à ce que la molette de réglage ne vienne pas compresser l’arrière de la tête.

J’utilise un bandeau fin pour protéger mes oreilles du vent. Je suis sourd et j’entends facilement le vent, ce qui me gêne pour entendre les voitures passer ou pour discuter. Cela peut aussi servir aux entendants.

Mon matériel pour un bivouac en voyage à vélo

Le nécessaire pour dormir : tente de bivouac, matelas, sac de couchage

La tente de bivouac constitue un autre élément important de son équipement de vélo randonnée avec les sacoches. Elle vous protège des intempéries et vous abrite durant les nuits. Autant bien la choisir ! J’ai rédigé un comparatif de tentes 2 places.

Nous utilisons principalement la tente Exped Lyra II, une 2 places bien conçue pour le bivouac. Elle affiche 2 kg sur la balance, avec une toile extérieure robuste (68 deniers) et une belle habitabilité : 110 cm de hauteur, 215 cm de longueur, 130 cm de largeur. Les personnes de grande taille dormiront bien sans problème. Sa toile intérieure en moustiquaire procure une bonne aération, notamment par temps chaud. Nous pouvons entreposer toutes les sacoches à nos pieds (grâce à notre petite taille) ou bien dans les absides avec un peu d’organisation.

Petit rappel pour une bonne durabilité de la tente : glissez un tapis de sol en dessous (bâche, couverture de survie, footprint).

Le matelas de randonnée procure une isolation thermique aussi importante que le sac de couchage. Il joue beaucoup dans la qualité de votre sommeil. Très souvent, vous ne rencontrerez pas de conditions fraîches ou froides.

J’utilise depuis des années le Thermarest NeoAir XLite, un matelas gonflable avec R-value de 4, largement suffisant pour des conditions climatiques tempérées en vélo camping. Il reste léger (370 g), compact, et plutôt résistant à condition de bien choisir son spot (éviter les épines, les pierres…). La version NXT monte à 4,5, mais avec un prix bien plus salé. J’y dors toujours bien et le bruit des mouvements reste contenu.

Le sac de couchage reste toujours important en bivouac à vélo, mais pas autant qu’en randonnée où l’on peut rencontrer des conditions froides. J’utilise le Ansabère 600 de Triple Zéro : 600 g de duvet d’oie 800 CUIN, pour un poids total de 900 g en taille S pour toutes mes activités. Bien souvent, il me sert de drap quand je dors en bivouac par-dessus mes vêtements en laine mérinos.

Un sac de couchage de température confort de 0 °C comme le Valandré Swing 450 convient dans la plupart des cas. Il reste léger avec 860 g donc 450 g de duvet d’oie 650 CUIN. J’ai écris un article qui donne des bases pour prendre un sac de couchage en plume ou en synthétique.

La cuisine au bivouac

Le poids représente un critère moins déterminant en voyage à vélo qu’en randonnée. Quand je voyage avec Margaux, nous nous permettons de cuisiner avec plus de confort. J’en parle un peu plus dans cet article :

Voyager à vélo permet de couvrir de grandes distances quotidiennes et de rencontrer à coup sûr une épicerie, une supérette ou un supermarché. Nous nous approvisionnons un peu tous les jours, notamment : 

Pots en verre : sauces tomate, crème d’amandes, confiture, pesto. 
Des légumes : courgettes, concombres, oignons, carottes, patates.
Sans oublier des épices et un peu d’huile d’olive pour se préparer des repas salvateurs.
que manger en bivouac pique nique
Pique-nique à l’ombre

Nous utilisons une popote Forclaz très pratique avec un réchaud déporté, deux gamelles, deux couverts et une grande casserole. La casserole peut contenir tous ces items pour un gain de place dans la sacoche. Je transporte la bouteille de gaz à part.

Quelques items supplémentaires pour cette liste d’équipement pour le cyclotourisme :

Une petite planche à découper.
Quelques ziplocks.
Des élastiques.
Des pinces de fermeture.
Une moitié d’éponge.
Une petite serviette pour essuyer.
Un petit décapsuleur.
Un Opinel n°8.
Un briquet, toujours à portée de main.
Et des poches à eau souples pour transporter l’eau le temps d’arriver au bivouac.

Petit matériel

La trousse de toilettes Vaude fait très bien l’affaire. On retrouve :

Une brosse à dents.
Un morceau de savon de Marseille, le tout emballé dans un sac ziploc.
Pharmacie de base : quelques comprimés de paracétamol, du sérum physiologique, un antihistaminique, une pince à tiques et une pince à épiler.

J’emporte une serviette type peau de chamois de moyenne taille pour qu’elle reste compacte.

Il contient :

Un désinfectant.
Du gel d’aloe vera
Des pansements.
Du baume du tigre.
Quelques bandages.
Une petite paire de ciseaux.

Un qui contient le papier toilette à utiliser et un autre ziplock pour les déjections en attendant de les mettre aux toilettes.

Avec une batterie de rechange. Je peux largement m’en passer sauf à l’automne ou au début du printemps.

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